La cataracte est une affection qui modifie la vision et dont beaucoup de gens ne savent pas grand-chose. Vous ne vous rendez peut-être pas compte que certains facteurs de risque de la cataracte sont des éléments de votre vie que vous n’associeriez pas à votre santé oculaire et à votre vision.

En ce mois de la sensibilisation à la cataracte, voici ce que les experts veulent que vous sachiez sur ce que signifie être atteint de cataracte, comment différents aspects de votre vie peuvent influencer votre risque de développer cette maladie et ce que vous pouvez faire pour réduire vos chances.

Qu’est-ce que la cataracte ?

Une cataracte est une tache trouble dans le cristallin de l’œil. Le cristallin est la partie transparente de l’œil qui l’aide à focaliser la lumière.

Au début, facteurs de risque, vous ne remarquerez peut-être même pas que vous avez une cataracte. Au début, vous ne remarquerez peut-être même pas que vous avez des cataractes, mais avec le temps, elles peuvent brouiller votre vision ou la rendre floue ou moins colorée. La cataracte peut également rendre la lecture ou les activités quotidiennes plus difficiles. Si elles ne sont pas traitées, les cataractes peuvent entraîner une perte de vision.

“C’est comme regarder à travers une fenêtre embuée : les détails se perdent”, explique à Verywell Carissa Janczak, OD, professeur clinique adjoint à la faculté d’optométrie de l’université de l’Ohio. “Les couleurs peuvent sembler moins vives. La cataracte peut également causer des problèmes d’éblouissement ou des difficultés à voir dans des situations peu éclairées, ce qui peut rendre problématique la conduite de nuit”.

Le traitement de la cataracte “peut rendre difficiles des tâches quotidiennes apparemment normales et banales”, a déclaré M. Janczak. La cataracte peut être traitée, généralement par une intervention chirurgicale.

Qui est atteint de cataracte ?

Tout le monde peut avoir la cataracte, mais certaines personnes sont plus à risque que d’autres. Les personnes âgées sont les plus susceptibles de souffrir de cataracte. Plus de la moitié des Américains âgés de 80 ans ou plus souffrent de cataracte ou ont subi une intervention chirurgicale pour l’éliminer.

“La cataracte peut commencer à se développer entre 40 et 50 ans, mais il se peut que vous n’ayez pas de problèmes de vision au début, car son développement est généralement lent”, a déclaré M. Janczak. “C’est pourquoi votre ophtalmologiste peut vous dire que vous avez une cataracte pendant des années avant que vous ne ressentiez des symptômes ou que vous ayez besoin d’une intervention chirurgicale pour l’enlever.

Bavand Youssefzadeh, médecin ophtalmologiste au Global Lasik and Cataract Institute de Huntington Beach, en Californie, a déclaré à Verywell que d’autres facteurs de risque peuvent influencer le développement de la cataracte : le diabète, l’utilisation de stéroïdes, les traumatismes oculaires, le tabagisme, l’exposition aux UV et les gènes.

Les symptômes de la cataracte peuvent être les suivants

• Vision trouble ou floue
• Couleurs délavées
• Difficulté à bien voir la nuit
• Les lampes, la lumière du soleil ou les phares semblent trop brillants
• Halo autour des lumières
• Vision double
• Nécessité de changer souvent la prescription de vos lunettes ou de vos lentilles de contact

Facteurs de risque surprenants pour la cataracte

Certains aspects de votre vie quotidienne qui ne sont pas directement liés à la vision ou à vos yeux peuvent en fait contribuer à augmenter le facteurs de risque de cataracte.

L’obésité

Plusieurs études ont établi un lien entre l’obésité et le risque de développer une cataracte. Une méta-analyse de 16 études a montré qu’un indice de masse corporelle (IMC) élevé était lié à un risque accru de développer des cataractes liées à l’âge.2 Une autre étude de données sanitaires en Corée a montré que les personnes souffrant d’une maladie du foie gras (qui peut coïncider avec l’obésité) avaient un risque plus élevé de développer des cataractes.

La raison de ce lien semble toutefois être indirecte plutôt que directe. “L’obésité est liée à de nombreux problèmes de santé, l’un d’entre eux étant le risque de diabète, qui est un facteur de risque connu pour le développement de la cataracte”, a déclaré M. Janczak. “L’augmentation de la glycémie dans l’organisme peut entraîner des changements à l’intérieur du cristallin, ce qui conduit à la formation de cataractes”.

L’obésité est une maladie complexe, mais la recherche suggère que son traitement peut contribuer à réduire le risque de développer une cataracte, selon Youssefzadeh.

Le tabagisme

Les fumeurs sont deux à trois fois plus susceptibles de développer une cataracte que les non-fumeurs.

“Le tabagisme est un facteur de risque bien connu pour le développement de la cataracte, car il augmente les radicaux libres dans notre corps qui endommagent les protéines spéciales du cristallin”, a déclaré M. Janczak.

En d’autres termes, le meilleur moyen de réduire le risque de cataracte lié au tabagisme est d’arrêter de fumer. “Le tabagisme est à l’origine de nombreux problèmes de santé”, a déclaré Mme Youssefzadeh. “Les effets inflammatoires du tabagisme ont un impact sur votre corps et sur vos yeux.

Si vous souhaitez arrêter de fumer mais que vous avez du mal à le faire, vous devriez en parler à votre médecin. Il existe de nombreuses façons d’arrêter de fumer, et ils peuvent vous aider à trouver une méthode qui vous convienne.

L’endroit où vous vivez

Si l’âge reste le principal facteur de risque de cataracte, des recherches ont montré que l’endroit où vous vivez pouvait également jouer un rôle. Une étude portant sur les demandes de remboursement de frais médicaux d’un million de personnes a révélé que les personnes vivant dans des zones fortement urbanisées étaient plus susceptibles de souffrir de cataractes liées à l’âge.

Toutefois, la recherche n’est pas très claire. “Les personnes vivant dans des zones plus rurales sont davantage exposées au soleil et courent donc un risque plus élevé”, a déclaré M. Janczak. “Il s’agit d’une question controversée et des études doivent encore être menées pour établir ces corrélations.

berühmte persönlichkeit Nach Angaben der Weltgesundheitsorganisation (WHO) leiden derzeit weltweit mehr als 55 Millionen Menschen an Demenz – ein Oberbegriff für psychische Erkrankungen, die das Gedächtnis und die Kognition beeinträchtigen, typischerweise gegen Ende des Lebens.

Die Frage, was Menschen, bei denen die Krankheit diagnostiziert wird, gemeinsam haben und was nicht, lässt die Gesundheitsexperten jahrzehntelang am Kopf kratzen.

Das liegt daran, dass Demenz komplex und ihre Ursachen vielfältig sind, aber eine neue Forschungslinie weist auf eine überraschende Gemeinsamkeit hin: Wer Sie als Person sind und wie Sie die Welt sehen, könnte ein fehlendes Puzzleteil sein.

Mit anderen Worten, Experten glauben, dass Ihre berühmte persönlichkeit ein wichtiger Risikofaktor ist, den die meisten von uns nicht kennen.

Nach der Auswertung von Daten aus mehreren Studien mit insgesamt 44.000 Teilnehmern haben die Forscher ihre Ergebnisse kürzlich in der Fachzeitschrift Alzheimer’s & Dementia: The Journal of the Alzheimer’s Association veröffentlicht. Sie fanden einen starken Zusammenhang zwischen den Persönlichkeitsmerkmalen der Menschen und nicht nur ihrem Demenzrisiko, sondern auch ihrer Widerstandsfähigkeit gegenüber der Krankheit.

Gewissenhaftigkeit ist der Schlüssel- Berühmte Persönlichkeit

Um herauszufinden, ob berühmte persönlichkeit mit dem Demenzrisiko verbunden ist, untersuchten die Wissenschaftler die sogenannten „Big Five“-Persönlichkeitsmerkmale. Dabei handelt es sich um:

• Offenheit für Erfahrungen
• Gewissenhaftigkeit (fleißig und zielorientiert sein).
• Extraversion
• Zulässigkeit
• Neurotizismus

Sie bewerteten auch das subjektive Wohlbefinden der Menschen, ihre Lebenszufriedenheit sowie die Häufigkeit positiver und negativer Emotionen.

Mehrfachbefragungen werden in der Regel verwendet, um ein genaues Bild von der berühmte persönlichkeit eines Teilnehmers zu erhalten.

Das Team fand heraus, dass hohe Werte bei negativen Persönlichkeitsmerkmalen (negativer Affekt und Neurotizismus) und niedrigere Werte bei positiven Merkmalen (Extraversion, Gewissenhaftigkeit und positiver Affekt) mit einem höheren Risiko verbunden waren, eine Demenzdiagnose zu erhalten. Das Gegenteil war der Fall bei der Verringerung des Risikos.

Darüber hinaus waren das keine kleinen Änderungen. „Zum Beispiel war ein Anstieg der Gewissenhaftigkeit um 10 Prozent mit einer etwa 15-mal geringeren Wahrscheinlichkeit, an Demenz zu erkranken, verbunden, was ein ziemlich substantieller Unterschied ist“, sagt Dr. Emorie Beck – Assistenzprofessorin für Psychologie an der University of California, Davis und Erstautorin der Studie – gegenüber BBC Science Focus.

Diese Ergebnisse wurden etwas erwartet. Eine positive Persönlichkeit ist in der Regel mit einem gesünderen Lebensstil, mehr Bildung, weniger Einsamkeit und weniger Stress verbunden – all das sind bekannte Mediatoren für Demenzrisiken.

Doch hinter den Daten verbirgt sich eine Überraschung. Bei Autopsien an den Gehirnen der Teilnehmer standen charakteristische Anzeichen einer Demenz (üblicherweise als „Plaques“ auf Gehirnzellen bezeichnet) nicht mit Persönlichkeitsmerkmalen in Verbindung.

Mit anderen Worten, die Persönlichkeit scheint in der Lage zu sein, eine Person vor dem Ausstellen von Symptomen der Demenz zu schützen, auch wenn die Pathologie im Gehirn vorhanden ist. Die Förderung dieser positiven Eigenschaften könnte das Gehirn widerstandsfähiger gegen die Krankheit selbst machen.

Wie kommt es, dass zwei Menschen mit scheinbar der gleichen Hirnschädigung völlig unterschiedliche Symptome zeigen können, nur weil sie unterschiedliche Persönlichkeiten haben?

Die Forscher sind sich nicht ganz sicher – Beck nennt es ein „Puzzle, das wir derzeit in anderen Arbeiten zu lösen versuchen“ – aber es zeigt, warum Demenz in Bezug auf Verständnis und Behandlung so schwer zu knacken ist.

Warum sich Ihre berühmte persönlichkeit verändern kann

Wenn Sie sich jetzt neurotisch fühlen, weil Sie neurotisch sind oder sich der Tatsache bewusst sind, dass Sie nicht gewissenhaft sind, ärgern Sie sich nicht.

„Es gab eine lange Zeit, in der wir dachten, dass die berühmte persönlichkeit unveränderlich ist; dass man mit seiner Persönlichkeit von Geburt an stecken bleibt. Aber das ist eine ziemlich antiquierte Ansicht“, erklärt Beck.

Zunächst weist sie darauf hin, dass sich Persönlichkeiten im Laufe der Zeit ändern. Wenn Menschen älter werden, neigen sie dazu, weniger neurotisch und gewissenhafter zu werden. Das ergibt doch Sinn, oder? Sie haben Ihre chaotische, regelbrechende Jugend, und dann langsam beruhigen sich die Dinge und werden geordneter, wenn das Leben an Ort und Stelle kommt.

Dennoch behalten einige Leute einige negative Eigenschaften bis in die Mitte des Lebens, und jeder kann von Anfällen von Negativität getroffen werden. Das Leben ist schließlich unberechenbar.

Um bewusster und positiv zu werden, sagt Beck, können Sie gute Gewohnheiten und Routinen zu bauen. Sich mit Menschen mit positiven Eigenschaften zu umgeben, kann auch hilfreich sein. Forschungsergebnisse zeigen beispielsweise, dass ein gewissenhafter Liebespartner positive Auswirkungen auf die Gesundheit hat und die Lebenserwartung verlängert, auch wenn man selbst nicht sehr gewissenhaft ist.

„Und bei Neurotizismus gibt es wirklich gute Belege dafür, dass allein der Besuch einer Psychotherapie mit einem ziemlich großen Rückgang dieser Verhaltensweisen verbunden ist“, sagt Beck.

„Mein Vorschlag ist, immer klein anzufangen. Beginnen Sie mit einer Sache, wie etwa einen 10-minütigen Spaziergang, wenn Sie Ihren Morgenkaffee haben. Das ist eine große Veränderung, die Sie vornehmen können, um Ihr Leben gewissenhafter aufzubauen“, schließt sie.

Wenn Sie daran interessiert sind, herauszufinden, was Ihre Big Five Persönlichkeitsmerkmale sind, können Sie Online-Tests machen.

Emorie D Beck ist Assistenzprofessorin an der University of California, Davis. Ihre Forschung konzentriert sich auf die Frage, was berühmte persönlichkeit ist, wie sie sich verändern kann und welche gesundheitlichen Auswirkungen dies haben kann. Ihre Arbeiten wurden in Zeitschriften wie Psychological Science, Journal of Personality and Social Psychology und The Handbook of Personality Dynamics and Processes veröffentlicht.

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Souvent, les patients le diabète ont du mal à gérer leur maladie en raison de la chaleur et de la déshydratation. Quelles mesures pouvez-vous prendre pour éviter cela?

L’Inde du Nord subit une énorme vague de chaleur depuis une dizaine de jours. Pour la première fois dans l’histoire, une partie de Delhi a enregistré 47 degrés Celsius vendredi dernier alors que d’autres parties ne sont pas descendues en dessous de 45. Le Département météorologique indien (IMD) a récemment émis une alerte rouge aux habitants du nord de l’Inde, les avertissant que les températures pourraient dépasser les 47 degrés Celsius dans les prochains jours.

Non seulement les vagues de chaleur rendent difficile le fonctionnement et le travail, mais elles peuvent aussi déclencher des problèmes de santé chez certaines personnes. Les vagues de chaleur peuvent causer des coups de chaleur, exacerber les maladies cardiaques et causer l’hypertension artérielle. Vous ne le savez peut-être pas, mais les bouffées de chaleur peuvent également affecter la glycémie chez les patients diabétiques. Souvent, les patients le diabète ont du mal à gérer leur maladie en raison de la chaleur et de la déshydratation. Quelles mesures pouvez-vous prendre pour éviter cela?

6 mesures à prendre pour gérer la glycémie

Voici quelques mesures que vous pouvez prendre au jour le jour pour gérer votre glycémie naturellement:

Suivre les niveaux de sucre dans le sang: Un patient le diabète devrait toujours suivre leur taux de sucre dans le sang. Voilà comment vous pouvez éviter les accidents. Pendant les périodes de pointe de l’été, cette étape est d’autant plus indispensable si vous devez passer de très longues heures à l’extérieur ou si votre travail exige de la main-d’œuvre en plein soleil.

Restez hydraté : L’astuce pour survivre à une vague de chaleur et maintenir votre glycémie sous contrôle est de rester hydraté. Vous pouvez rester hydraté en buvant beaucoup de jus de fruits frais, en mangeant des fruits, en buvant de l’eau et de l’eau de coco tendre. Mais, assurez-vous de ne pas boire de jus contenant du sucre artificiel car cela va augmenter votre glycémie.

Gardez votre peau protégée: L’une des raisons derrière le pic de glycémie est le stress chronique. Le stress peut se produire en raison de nombreuses raisons l’une d’entre elles étant des problèmes de peau causés par l’exposition à des températures élevées. Les coups de soleil ou les éruptions solaires sont très fréquents lors d’une vague de chaleur, cependant, ils peuvent vous stresser et donc également affecter les niveaux de glucose sanguin. Assurez-vous de garder votre peau protégée et votre niveau de stress faible.

Mangez une alimentation équilibrée: Vous remarquerez mai que vous avez soit trop faim ou pas faim du tout ces derniers temps. Pourquoi ? La réponse est la canicule. Les vagues de chaleur ont tendance à affecter votre appétit sévèrement. Vous pourriez finir par manger trop ou ne rien manger toute la journée. Ni ne sont bons pour votre santé et il peut conduire à pic de sucre dans le sang. Donc, assurez-vous de suivre une alimentation équilibrée, manger tous vos repas et manger des aliments légers et faciles à digérer.

Restez à l’intérieur ou à l’ombre : Ne vous exposez pas trop à la lumière directe du soleil, restez à l’ombre ou choisissez de rester à l’intérieur.

Portez votre trousse de diabète : Si vous êtes diabétique, vous devez avoir une trousse en tout temps. La trousse doit contenir tous les éléments nécessaires tels que des comprimés ou du gel de glucose, des collations, de l’insuline, des seringues ou des stylos à insuline, un lecteur de glycémie et des coordonnées d’urgence.